À mes Enfants d'Amours-ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

À mes Enfants d'Amours

-ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

Sur le grain délicat de vos peaux

Affectueusement, je dépose mes mots

-ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

Sur le fil soyeux de vos vies

Lentement glisse mon exuvie

-ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

Dans vos veines un peu de mon sang

Puisque d'Amour , vous êtes mes enfants

-ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

Que continue cette chaîne à travers le temps

Gardez-moi en vos cœurs en éternel printemps

Clémentine*

 7 Avril 2012

L'Ange Blessé ...d'après une huile d'Hugo Simberg

Hugo Simberg

Il ne vole plus l'ange blanc dans la pénombre

Le monde est devenu bien trop sombre

Il a eu beau dire et bien faire

Ils l'on chassé lui disant ce n'est pas ton affaire

Ses ailes blanches balayaient le ciel

Il se savait l'ange sacrificiel

Mais il espérait des humains

Car l'espoir pour lui était certain

Alors, il volait l'ange blanc immaculé

Jusqu’à ce livide matin, ou il est tombé

Ils se sont servi des canons de la haine

La mort et le sang on jailli des fontaines

L'ange d'amour aux ailes blessées

Comme une pierre, sur notre terre à chuté

Mais il restait assez d'amour au cœur de deux enfants

 Doucement, sur des branchages l'ont transporté

Ils ont emmené l'ange loin des tourments

Ange blessé... vas-tu survivre et nous aider ?

Clémentine*

 28 dec 2013

                                                                  

Un mur...rien qu'un vieux mur...

 Un mur...

Rien qu'un vieux mur

Qui a subi les outrages du temps

Devenu tableau de tags en colère d'adolescents

Un mur qui a vu voler nos aérostateurs

Profitant du vent courant sur les hauteurs

Un mur de casernement

Vestiges de lointains tourments

Ce mur, en ce matin frileux,

Sous un ciel d'hiver si bleu

Vers lui m'a attirée

Puis, doucement, m'a murmuré...

De guerre, je suis lassé,

De graffitis décorés

Mais de grossièreté abîmé

Regarde-moi, eux n'ont pas vu, mais toi...

Tu sais imaginer le beau, tu sais comment l'admirer

N'hésitant pas à t'agenouiller dans les ronces gelées

Les doigts gourds, les yeux émerveillés...

Tu écoutes le chant du givre virevoltant des cimes ventées

Je t'ai vu tendre la main

 Pour lui se laisser fondre et mourir sans chagrin

J'ai entendu ton souffle aspirer l'odeur de mes arbres tremblants

J'ai vu l'émeraude de tes yeux pénétrer mon trou béant

Pour toi, le soleil à mis en scène la forêt

Il est temps d'oublier les casernements

Regarde les ors scintillants sur le blanc

Aussi loin que ton coeur puisse voir

Je t'offre les coeurs battants de ma forêt

celle en devenir d'être ta forêt

Ils avaient vingt ans...

Ils étaient beaux et plein de courage

D'eux, ne reste rien...

Pardon...oublie vite cet éclat de tristesse

Regarde simplement la lumière... et rêve....

Rêve

A l'éclat du soleil donnant vie à chaque feuillage

Au vent bruissant dans la gelure des branchages

Ecoute les oiseaux te faire parade d'hiver

Pour toi, hier, ils ont répété leur concert

Laisse-toi faire, apprivoise-nous...

Tes mains en caresse sur nos troncs

Tes yeux en douceur sur les cimes en horizon

Tes pas silencieux sur nos sentes fatiguées

Ta senteur s'unissant au parfum de nos fées

Nous saurons te faire découvrir au fil des saisons

Les trésors cachés de nos tendres frondaisons...

                                                      C'était Le Mur....à Clémentine...

Romance à l'italienne...

Respire mon Italie,
Respire  mon petit grain de folie
Laisse-toi submerger par son charme
Le seul qui depuis toujours me désarme
Ètendere solamente canzone di amore*
Mormorato al cavo del mio orecchio


Effleure mon Italie
Effleure ses pierres et ses marbreries
Caresse de tes yeux  Roma et ses vertes parures de vie
Ses tableaux de Maîtres et la belle Vénus de Boticelli
La sensualità a fior di pelle delle sue anime appassionate**


Noie-toi dans mon Italie
Noie-toi avec moi dans les grottes bleues de Capri
Attrape les rêves indolents sul vecchio di ponte di Firenze
Tords toi le cou en riant à l'ombre de la tour di Pisa
E beviamo gli occhi negli occhi le ore blu annegate nel cielo di Giulietta  


Viens je t'emmène, partons sans bagage,
Vite, partons...
Tutti i due, niente che noi due...

Clémentine*







Elle n'est que tendre chanson d'amour*
 murmuré au creux de mon oreille

La sensualité à fleur de peau de ses âmes passionnées*

Et buvons les yeux dans les yeux les heures bleues noyées dans le ciel de Juliette*

Tous les deux, rien que nous deux*

Mes clés

۝▬▬╥

Pour trouver mon âme

Il faut trouver mes clés...

Celle un peu rouillée,

De mon temps perdu

Depuis un bon moment déjà

L'absence elle n'ouvre plus...

╥▬▬۝

Charmée par la voyageuse

Celle de mes champs bleutés

Mon âme en pêne glisse

Dans la gâche d'une caroube en esquisse

۝▬▬╥

La clef de l'inconnu est en bonne place

Tant de choses encore me reste à découvrir...

╥▬▬۝

Vole celle de l'amour,

Intimement liée à  la liberté

D'aimer la vie, le bonheur

 D'aimer simplement qui me plait

۝▬▬╥

Celle des rêves n'a plus d'embout

Mes songes plus jamais ne seront enfermés

╥▬▬۝

La seule égarée... 

Celle de la sagesse...

Mais je suis bien décidée

À ne plus jamais la chercher...

..... ╥▬▬Ọ...

Je remonte le temps

De temps en temps

Grâce à la plus petite...

Remontoir rouillé d'un vieux jouet... 

˙˙˙ọ▬▬╥ ˙˙˙˙˙

Clémentine* 

12 nov 2013

Mes yeux...

 ☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ-  -ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸-

 ☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ-  -ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸-

Voilà c'est décidé,

 Je vous montre mes yeux

Ceux qui lisent vos mots,

 Se régalant de tendresse

Puisant chaque matin 

Dans vos billets d'amour passion

Ceux qui se baignent de sel 

Quand ils lisent déraison ou trahison

Qui suivent les lignes 

Et les feuilles dans le vent volant

S'attendrissant devant un éphémère 

sur un roseau ballotté par le temps

S'émerveillant devant le tendre d'un enfant

Plissant au soleil,  de noir vite s'abritant

Ceux qui esquissent sur un tableau

Le devenir d'un pinceau

Qui rougissent d'amour

Sous ses doigts caressants

Ceux qui se reposent 

Admirant  montagnes et océans

Cherchant à comprendre

La vie, de maintenant et d'avant

Mes yeux, curieux, 

Sont mélangent d'amour

D'une Lorraine et d'un Nakota....

                                                  ☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ-  -ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸-

                                                              Clémentine*

16 11 2013

Quand....

-ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

Quand je t'attends, le temps semble si long

Mais quand tu es là, le temps passe si vite...

☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ-

Quand je t'espère, les heures ne bougent pas

Mais quand tu arrives, les heures filent trop vite...

-ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

Que faire pour arrêter ce temps
Volages heures des amants...

☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ-

Pouvoir le pétrifier en ta présence

Et le voir fondre en ton absence...

 ☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿ- -ۣڰڿ-ڰڿ-ۣڰڿ-☸

Clémentine*

13/11/2013

Quand se meurt mon Beau Désir...

Auberge de Beau Désir
 Toute ma jeunesse...

Silencieusement, tu te meures
Tu refuses de rester une demeure
Préférant être dévorée par les arbres
Plutôt que par les promoteurs
Savent-ils déjà ton existence
Toute cette vie passée en douce errance
Toi la belle des siècles passées
Guinguette joyeuse au milieu de la forêt
Ta couleur d'azur est toute délavée
Mais tu restes  belle pour moi, à jamais...

Au creux du vallon tu chantais
Jusqu'aux Roches d'Olima tu résonnais
Puis, après la guerre tu t'es assoupie
Tes tables de bistrot restaient accueillantes
Et ta forêt, doucement retrouvait sa luxuriance
Longtemps après, du haut de notre belle insouciance
Seul l'accordéon pour nous, jouait encore
Valse d'enfants  chatouillant ton vieux parquet
Rires juvéniles éclataient  alors...


Ou les retrouver mes premiers désirs
Mes jeux d'enfants, mon frère, mes amis
Les roches accueillantes et les premières myrtilles
Les taches sur les doigts, les rires sous les brindilles

Beau Désir
Aimant de ma jeunesse

Je reviens te voir et je pleure, de jour en jour, tu te dégrades
Une banderole rouge et blanche ceint le bleu délayé de ton âme
Mais j'entends toujours résonner mes anciens bonheurs
Qui battent, qui battent  au plus profond de mon coeur...

Clémentine*

novembre 2013

Rêve tes voyages... voyage en tes rêves...

Rêve tes voyages....

Contourne mes îles  coquillages

Mes îles aoûtiennes en voyagent

Cherche en toute quiétude le bon passage

Lance-toi follement dans le doux sillage

De cette voile de songes volant sur mes nuages

Caravelle en chimère naviguant  sans apanage

Frôlement de pétales papillons d'une fleur  sans cage

Sur les rives de mon cœur, viens, viens donc faire naufrage....

Voyages en tes rêves...

Songe ma caravelle voguant en arpège

Notes éparses chantantes dans le vent

Mont de tendresse érigé en cortège

Celui de mes rêves venu d'un bel instant

Pianotent de tes doigts  ma peau sortilège

Diapason de cœur à jamais adolescent

Notes caresses épinglées en florilège

Offriront en ce tableau un regard reposant...

Clémentine*

octobre 2013

L’éphémère et les étoiles

CH

L’éphémère et les étoiles

Quand l’éphémère, d'un vol gracile

Partage sa belle liberté avec toi,

Sachant que naguère n'existait pas pour lui

Et que demain, dans ta rêverie il ne sera plus

Imperceptiblement, il vient te défier,

Le temps d'un jour, ou d'une fraction de seconde

Vibrionnant sa vie au creux de ton nombril 

Riant des étoiles, officieuses  cartomanciennes

Sachant bien que toutes te mentent sur ton temps à venir

Un jour...pour lui, toute une vie

Vole l'éphémère.... tu ne pourras le retenir....


Clémentine*

,

Bel anniversaire mon Paulot*____*

Pour toi mon Paulot*___*

Parce que j'imagine le soufflé de bougies
Le gâteau et les sourires autour de toi *____*
les verres levés et la tendresse des tiens....

Mais aussi...

Parce que ce site a perdu une page d'humour
Du bel et tendre...comme celui de* la diète*...
Mais vu que ton coeur suit tes rondeurs...*___*
Surement grâce à*Jeannot*l'apprenti en cuisine
Arrivant sur sa bécane, pas de risque d*accident*
A cause de ce fichu portable, lui n'est jamais en *crise*
Tu écris à ton *fils*et nous, tu nous oublies ?

Retrouve vite ce crayon au fond de ton tiroir
Un peu de ton peps, saupoudré de ton humour
Tu gardes le droit d'écrire triste,
Coloré ou nous conter des histoires,
de venir souvent ou seulement de passage,
Suis la lumière des bougies, elle te mènera sur jepo
ou t'attendent et t'espèrent tellement de tes amis....

Un bel anniversaire mon Paulot, de la part d'une blonde ( hihi c'est moi !)
Mais aussi de la part de tous tes amis !!!


.\* **♪***♪***♪***/
..\***♪***♪***♪*/.
...bisou*anniv*de Clem*
..O---O---O---O*♥*♥*♥

Automne d' Elle...

Automne d' Elle...

Au Polissé de sa vie,

 Elle attendait...

Elle attendait que les feuilles se parent d'or

Veinures fragiles d'un éphémère trésor

Elle attendait ce moment, ou ballottées par les vents

Un instant seulement, elles vivraient encore

Devenues azurés d'ajonc, pour emporter son vivant

Le couchant en douceur sur les rides de l'étang

Elle les regarderait,

 Petits vaisseaux de pourpre

Nefs minuscules,

Juste grandes pour une larme

Tourbillonner dans l'onde,

 De claire, s'assombrissant

Laissant sourdre de son cœur      

Des larmes scintillantes,

Gouttes de rosée

Prêtées du printemps

Elle attendait

De voir les feuilles

De l'automne venant

Se confondre avec sa vie,

Pour lui donner couleurs jolies

Elle attendait

Seule sur son banc

La venue

D'un improbable amant...

Clémentine*21 09 13

Anniversaire d'un Roi

L'anniversaire d'un Roi

N'est pas une banalité en soi

Jour de liesse en votre château

Petits fours et gros gâteau

Vos sujets passeront

Et bisous doux vous feront

Mon cadeau pour vous, Majesté

De papier vert est emballé...

Clémentine*

Island blue...

Le ciel est gris mais tu souris,

Mes yeux se noient dans les tiens

Et tout deviens bleu

Nous voici sur cette plage

Celle de notre île merveilleuse

A contempler ce ciel d'azur

A caresser du regard nos papillons

A toucher du bout des doigts nos rêves bleus

Nous découvrir, nous redécouvrir

Le ciel est bleu, encore plus dans mes yeux

Toi tu es là, si près et si loin de moi

Difficile de comprendre, difficile d'attendre

Le temps court

 Peut-être trop vite pour nous

Mais notre ciel reste bleu

Qu'importe à l'âme nos bleus.....

                                                                     Clémentine*

Un Prince où un Mendiant...

Au détour de mes promenades

A chaque marée basse

Tu es là, assis sur ton pliant de toile,

Aussi vieux que le sable usé

 Des perles marines,

Quelques fois le regard perdu vers le large...

As-tu été marin dans une autre vie ?

 Tu ressembles à un vieux Johnny...

Ta veste de peau malgré le soleil

Ton vieux Stetson  de cuir vissé sur la tête

Maigre protection contre les ondées, le soleil et la nuit

Rangers côte à côte bien rangées sur le sable

Vomissant tes chaussettes, les offrant à la brise

Ta radio à piles, rehaussée sur un cubi de rouge bleuté

Côtoie la bouteille d'eau de tes deux compagnons à pattes

Tu t’indiffères des touristes indifférents
Isolé dans ton monde
Tu ne vois que tes chiens et les larmes de l'océan

Tu as l'air tantôt d'un Prince, les yeux fixant l'horizon
Tantôt d'un vagabond
Épaules fléchies sous la solitude et l'abandon

J'ai volé ton image, ne voulant t'oublier

Me promettant de la vendre et t'en offrir son gain

Mais de t'observer à nouveau, endormi sur mon écran

Tes deux chiens veillant sur toi

Et toi, vu si souvent,

D'un parapluie, les protégeant du vent

Je n'en ferais rien, que peut vouloir si peu d'argent

Contre ta liberté choisie, face à un tel océan

Les vagues remontent, je remonte avec elles

Observant leur flot déferlant, sur le nu de tes pieds

La tête penchée sur ta poitrine, tu t'es endormi

Encore une fois, je passerai devant toi, sans bruit...

Clémentine*souvenirs de vacances....

18 08 13

Le titre ? à la fin....*____*

Il est là... seul, abandonné sur le trottoir...

Sa blancheur sur le bitume étonne

Un peu mal au cœur pour lui

Pourtant, il a dû donner du plaisir

Sûrement susciter quelques  désirs...

De petits-déjeuners en amoureux

Tartines grillées, les yeux dans les yeux..

Il a dû aussi faire des bêtises

Mais dites-moi...qui n'en a fait...

Quand je suis passée

Je l'ai trouvé, tout apeuré

Blotti contre la benne à papier...

Il me semble l'avoir entendu pleurer...

Se faisant tout petit

Espérant échapper à un pied trop hardi

Je ne peux rien faire pour toi...

Sûrement quelqu'un d'autre aura pitié de toi...

Il en faut un qui sache te parler avec douceur

 N'hésitant pas à te triturer le cœur

À te brancher sur son secteur

Il te parlera d'amour,

De brioche et de retour

Où te dira en riant....

Pète pas les plombs, tiens bon !

Ce matin...en allant à la plage

Je ne t'ai pas vu...

As-tu été adopté ?

Clem en mod'vacances*

28 août 2013

Le grille-pain abandonné....

*__*

les mots...

Laissons-les mots courir au gré de notre imagination... ils sont la vie, le rêve, l'espoir.....

Au fil de l'eau voguent mes mots

Au fil des mots s'envolent les maux

Tous seront fleuris

Pour que belle soit sa vie

Au fil des jours s'en vient l'amour

Au fil des nuits restera sans détour

toutes seront délice

Pour que belle soit ta vie

Au fil de la vie naît la tendresse

Au fil du vent dans l’allégresse

Tout  sera oublié

pour que soit belle ma vie

Au fil des nuages s'envoleront mes pensées....

Clémentine*

Effets de l'été

Pose tes lèvres sur mes lèvres...

Sens-tu ce goût de sel ?

Promène ta langue sur ma peau

Aimes-tu son goût de l'eau ?

Plonge-donc tes yeux dans mes yeux...

Y vois-tu du vert et du bleu ?

Les miens doucement se ferment

Palpite mon corps sous le tien

Mon âme à l'océan j'ai offert

Ma chair à ses vagues tumultueuses

Nymphe en volupté sous sa houle d'argent

Je me noie de bonheur dans mon océan...

Demain, mon cœur sera à toi marin ...

Clémentine*

Les ronds de serviettes...

OOOOOOOOOOOO

Je connais une cachette...

Une belle, remplie d'amour et d'amitié...

Là... sous l'escalier...

Il est un meuble, de famille assurément

De merisier patiné, il a connu le temps...

Deux portes à la ferrure étoilée

Deux tiroirs aux poignées dépareillées

À moins que celle blasonnée

Soit là pour protéger le secret ...

Certains le connaissent depuis longtemps,

On me l'a appris, il y a quelques années

Et toujours il m'a subjugué...

J'ouvre le tiroir doucement... celui sans poignée...

Ils sont là, bien rangés... le A  côtoyant gentiment le B

Le G riant avec le J, le M embrassant le N

Le S riant depuis si longtemps avec le V !

En alvéoles cartonnées, et puis tout est expliqué...

Page quadrillée prévenant de certain méfait...

On remet comme c'était !

Et si je commençais par les compter...

Un... deux... trois... non, 

Commençons plutôt par lire les majuscules..

Le M de Marcel,  maître des lieux...

Uni à celui du J...  Jeanne, si présente et chaleureuse

Que cette maison devrait bien porter son prénom !

JP... et Véronique.... le sportif et l'arche de Noé...

Celui de Sylvie...et Jacky, km avalé avec Elisor sur la plage salée,

Le N de Nicolas... guitare et molkky...

Virginie et Julie les deux cousines...

Deux bouchons de champagne !

Pétillantes et jolies

Rires assurés tout au long de la journée !

Nathalie racontant des histoires aux lézards...

Françoise et Marie, la verve venue des Vosges

Lysiane et Béa ... Paul et Laurent...longue et la liste...

J'en ai compté...cinquante-six...

Plus trois vierge de tout prénom...attendant une gravure...

Dans cette maison si accueillante, où chacun,

Depuis longtemps trouve un rond à son prénom,

Depuis quelques années, j'y ai trouvé le mien....

Ronds de bois dans un tiroir...chut... 

OOOOOOOOOOOO

c'est le secret d'amour et d'amitié de cette maison....

OOOOOOOOOOOO

Clémentine*en mod'vacances*

23 08 13

Couleur marine...

CH    St Gilles Croix de Vie

Couleur marine...

Quand les clochers vendéens jouent à gratte-nuages

De chaque côté de la Vie, bourgs réunis

Accrochant leurs atours sur la Côte de Lumière

Aux écailles d'argent des ports endormis

Marin tu chantes, la complainte de la mer

Celle qui donne, mais aussi celle qui reprend

Tu navigues, capitaine, marin mousse où corsaire

Ta vie d'homme libre ployant sous les gréements

Cliquetis des mats de plaisance se pâmant au soleil

Se frottant l'échine vacancière aux caboteurs défraîchis

Bronzage  délicat s'opposant à votre peau boucanière

Casquette de yachtman  contre quart en bleu de nuit

Hommes de marine, en détente où vieux loup de mer

L'océan vous draine, vous entraîne loin des ports

Glissent vos bateaux sur ses larmes revenant à l'aber

Quelques fois vous garde à jamais au jardin de ses flots...

                                        

Clémentine* en mod'vacances*

20 08 2013



 

Saint Gilles croix de Vie...acrostiche...

St gilles, l'antique Sidenum, port fidèle

Face au Hâvre-de-Vie des matelots démunis

Deux clochers jouant à gratte-nuages de l'azur

De part et d'autre d'un fleuve au beau nom de  La Vie...

Saint Gilles croix de Vie...

S.aint-gilles la bourgade...

A.ntique Sidenum, port fidèle à la Vie

I.vre de sel, de pêche et d'écailles d'argent

N.aviguez braves marins, naviguez sans avarie

T.ziganes de la mer, croisant sous tous les vents...

G.lissent les voiliers sur l'océan de Lumière

I.nvitation des flots que l'on ne peut refuser

L.yrisme des nuages se jouant de la mer

L.ouant le courage de ses matelots égarés

E.xutoire des pleurs de femmes de marins

S.anglotent les veuves en vos églises réfugiées

C.royance de Vie, tu as épousé saint Gilles

R.éunissant vos forces pour dompter l'océan

O.ubliant les rancoeurs des années difficiles

I.nsubordonnés marins bravant le mauvais temps

X. de la croix, finissant en prière sous vos doigts...

D.ureté de la vie en Vie de votre fleuve

E.spoir de toujours vivre une vie meilleure...

V.oûte céleste, veille sur ces indomptables marins

I.mplorant ta clémence et le calme des vents

E.xubérance de leurs chants, dissimulant la peur du chavirement...

Clémentine* en mod'vacances*
10 08 2013

Fou-rire au supermarché... avec ma Marie*

Fou-rire au supermarché... avec ma Marie !

@}>~~~>~~~>~~~

Sympa les courses à Saint gilles !
Que je vous raconte...
les gens ce matin manquaient un peu de sourire...
bien sur, quelques nuages gris dans notre ciel de Vendée
Qu'importe, le poulet fût bien choisi...
De challans s'il vous plais... on reconnait la gourmande...
Les pêches plates (ben oui, plates !) sélectionnées avec tendresse
Le fromage ? un délice en rayon (odorant , juste ce qu'il faut !)
Ah ! j'ai oublié de vous parler du préfou...
vous ignorez ce que c'est ?
Spécialité vendéenne pour l'apéro !!
Hé hé!! un délice de pain aillé et beurre salé (bonjour les bisous!)
On reçois !
Je surveille et je ris....
On prend un raccourci dans les rayons pour aller aux poissons !!
Misère!! elle a choisi celui des sous-vêtements....
Comment résister à toutes ces dentelles qui vous regardent et vous appellent...
Ma coquine à fait son choix...il est vraiment de bon aloi ...
Allez, zou, direction la caisse...
C'est notre tour... bonjour mademoiselle...
Marie dépose sur le tapis... aliments et froufrouterie...
Tout ce passe bien  jusqu'au moment ...
Où la caissière passe les sous-vêtements...
Marie la gaffe a bien choisi... le tanga a égaré son étiquette....
L’hôtesse appelle au secours....
En brandissant à bout de bras le trophée !
Sémaphore des nouveaux temps...
Tiens sa fait rire tous les clients !!!
La bonne humeur est revenue au supermarché de Saint Gilles
Les fou-rires vont bon train, mais n'équivalent pas le mien et le sien !
on devrait nous décorer... pour les avoir fait bien rigoler...
Les nuages ont tous filé, la bonne humeur est retrouvée !





Clémentine* en mod'vacances*

17 août 2013



Voici l'objet du délit!

plus gai que moi tu meurs....*_____*                                                                        

Mon Marin de Saint Gilles...

Tambourinent sur la jetée les vagues déferlantes

Caresses salées en leurs complaintes grandioses

Me racontant les tourments d'un jeune matelot

Au fil des années devenu  mon amant de bronze 

Il me sied de le penser, utopiste songeur

Épiant safran, le dos des vagues et le lointain

Se raillant du roulis, des larmes d'eau et des basses

Il doit ramener à tout prix belle pêche sur le port

Borde marin,  moques-toi du grain,

Ne détache pas tes yeux de mon coeur

Et tes rugueuses mains du filin

Tire, marin, tire, le filet est plein

Sur le quai tu seras Roi,

 Au moins pour ce matin...

Rêve de moi, marin....rêve

Comme à chaque passage ici,

J'irais te caresser les reins...

 Toi mon amant de bronze

Agrippé au bastingage de La Vie

Le regard énigmatique, fixé sur le  lointain...

Tu rêves de bateaux, marin

 De ceux que tu construiras

Et moi...moi, je rêve de toi....

Marin de mon cœur,

M'emportant au lointain

Sur un de tes vaisseaux,

Pour une île sans chagrin...

Clémentine*en mod'vacances*

la Vie... fleuve séparant st gilles et Croix de vie
Safran : Surface du gouvernail sur laquelle s'exerce la pression de l'eau pour orienter le navire.
Basse : Banc de roche ou de corail formant un bas-fond

Marin...

CH

Rugissement des vagues

Accompagnatrices de mes nuits

Bercement en roulis

Est-ce le vent ou la marée...

Risée dans les pins

S'envole les chagrins du matin

Où es-tu, toi le Marin...

≤≥≤≥≤≥≤≥≤≥

La tourterelle s'éveille

Crient déjà les goélands

Les entends-tu marin...

Toi qui tire la drisse

Épiant le dos rond des déferlantes

Et les poissons volants...

Je pense à toi, Marin...

.≤≥≤≥≤≥≤≥≤≥

Voguant vers des îles lointaines

Cramponne-toi bien au cabestan...

Les lézards courent sur le sable

le soleil est devenu brûlant

Je permute mes rêves

Les tiens aux miens se mêlant

Songe à moi, Marin...

≤≥≤≥≤≥≤≥≤≥

Tu rêves de terres lointaines Marin

Et moi je reste là...

À écouter les vagues s'unissant avec le vent...

≤≥≤≥≤≥≤≥≤≥

                                                        Clémentine* en mod'vacances*

Sur le sable...un cœur de pierre....

~~~~~~~~♥

J'ai trouvé un cœur sur la plage

Surement celui d'un marin trop volage

Cœur de pierre égaré parmi les coquillages

Les flots se retirant l'ont-ils laissé en naufrage ?

~~~~~~~~♥

Une sirène jolie a dû le faire souffrir

Pour qu'il ai à ce point eu envie de mourir

Jetant par-dessus bord son cœur sans avenir

Ne sachant pas qu'un soir, je pourrais l'adoucir

~~~~~~~~♥

J'ai ramassé cette pierre sur le sable, sans dédain

Et l'ai serré fortement dans le creux de mes mains

Fermé les yeux un instant, chantonné doux refrain

Pour sentir sur ma bouche le baiser du marin...

~~~~~~~~♥

Goût du sel sur mes lèvres, apporté par les vents

J'ai un instant cru te reconnaître, toi mon bel amant

Celui connu ailleurs, une nuit étoilée de la Saint Jean

Devenant ce soir sur cette plage, un marin fort aimant

~~~~~~~~♥

Cœur de pierre, sur le sablon tu palpites à nouveau

Souriant à la vie, tu te moques du sable, de ses châteaux

Ton âme à mon âme hurle d'amour son renouveau

~~~~~~~~♥                                                            

Mais quand la nuit à l'horizon se perdra en oripeau

Marin pour toi, ne comptera plus que ton bateau...

~~~~~~~~♥

Alors, je laisserai mon cœur devenu de pierre en baliveau

Sur la jetée, priant, que toujours revienne ton vaisseau...

~~~~~~~~♥

Clémentine*en mod'vacances*

Drague...dans le Jaunay

Derrière moi il est venu...
En vélo ...le bel inconnu
Admirant ... quoi ? mes formes !
Manquerait plus que l'uniforme !
Dépasse et repasse... tu verras mieux...
Clem arrête de chalouper...
Oui Marie... réponse en fou-rire... tu me connais,
Je ne le fais pas exprès
Pardon ?... je vous intéresse ?
Pour une nuit d'ivresse ?
Ben j'ai bien fait de passer par le Jaunay !
Marie, arrête de rigoler !
Oui ? je vois...
Mon décolleté trouvez de bon aloi...
 Ben tiens donc, une noyade en direct !
Vous cherchez... cherchez à vous caser ?
Pendant les vacances..et sur mi vous êtes tombé !
C'est mon jour de chance, d'habitude on m'offre un sourire..
...au moins avant !
Ce que j'aimerai faire ?
Rêvasser sur la plage..
A ramasser des coquillages...
Bien sur vous êtes prêt à m'accompagner !
Vous êtes pécheur...
 Ben tiens, encore un menteur...
Des bars... hum ... hum... là pépère tu m’intéresses !
Ha oui.. depuis deux mois...
Rien sous la dent...pauvre de toi...
On peut faire ça ..même à trois !!
Ben tiens donc, mon fou-rire ne le gêne même pas !
Un coup d'oeil de haut en bas... ben tiens ta bien fais ça toi !
Sportif... le mollet bronzé... svelte... le sourire ravageur...
Purée... je m'sens seule....
Demain matin 10 H, t'insistes.. ici ?
Tu ne veux pas de lapin ! ben tiens !
Pas de gibelotte, ho la rigolote !
On verra bien demain !
dimanche 11 août...pourquoi la date ?
On ne sais jamais.. s'il y avait une suite à raconter !!!!

Clémentine* en fou-rire*


Jaunay =passage ombragée le long du cours du même nom

ben= bien, onomatopée ben d'chez moi !

11 08 2013

De sel et de foin

Océanement, je sale ma peau

Paisiblement, le corps à fleur d'eau❀

Après l'avoir parfumée de foin

M'y roulant, rieuse, avec toi sans témoin...❀

Nonchalamment, je prends le soleil

Chaise-longue et demi-sommeil❀

Après avoir respiré les douces odeurs

De campagne et de champs en fleurs...❀

Soyeusement coule le sable entre mes doigts

Sur une plage de Saint Gilles et de Vie la Croix❀

Après nos dînettes de tendresse et d'amour

Sur les rives du lac, avec toi, mon gentil troubadour...❀

Entre mer et campagne, mon cœur se balade

Souvenirs tendres de nos belles escapades❀

Profitant des largesses de notre belle terre,

Mon âme de rêveuse, avec délice s'y désaltère...❀

Clémentine*

Mode vacances...

Clem en mode vacances, c'est...

Un peu de campagne,

C'est bon, l'air embaume le foin   

Un peu d'océan,

C'est bon, le sable est ta peau salée   

Un peu de montagne,

C'est bon, dans les nuages avec toi rêver

De tout ces "peu"

Je vais faire un grand tout

Me rouler dans le foin

Me  fondre avec toi dans les vagues

Me lover dans ta vie et dans tes rêves

Profiter de mes vacances quoi !

Clem en mode vacances*____*

Chemin de noisettes

Ce matin, j'ai pris le chemin de noisettes
Le tendre, le doux, le charmeur
Celui qui d'habitude, redonne baume au coeur
En caresse de nature, aux pauvres esprits meurtris
De trop de peines successives, noyant l'espoir dans la douleur

Fermant les yeux je respire, le vert des frondaisons
L'ombrage des ramures et des fleurs des bois
J'écoute les oiseaux et l'onde qui murmure
Je m’enivre de brise, de mousse et de ronce
Griffure de peau qui permet à l'âme de gémir

La fougère pleure, la tête dans le canal
Celui qui alimente mon lac de larmes et de chagrins
Des ailes bleutées pourtant viennent s'y reposer
Comme un pied de nez, en espérance de vie


Ce soir je reviendrai et demanderai à la lune
Qu'elle me donne de tes nouvelles, éclairant ton sourire
Elle me parlera de toi, me disant ton rire, tes joies et ta foi
Mais ce matin reste chagrin,
Ce matin, je ne comprends plus rien...

Viens Lully, on doit rentrer....on doit rentrer...

Clémentine*

A Fériel...Princesse des sables...

☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ- ♥

Il pleut... encore....

Mais un coup de sonnette matinal

Aphone, le facteur ne peut entendre ma question

Cavalcade dans les escaliers...

Ouf, à temps je suis arrivée...

Même emballage..pincement à mon coeur

Je ravale une larme

Pose le paquet et le regarde...

Quand oserai-je l'ouvrir

Je sais sa contenance, ne vais-je défaillir ?

Attendre, voilà, je vais attendre,

Le paquet n'est pas abîmé

Des yeux seulement j'ose le toucher...

 T☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ- ♥oi aussi tu es matinale...

Tu arrives et je t'en parle

Tu restes près de moi

Me pousses à ouvrir

Déjà les gâteaux que je pose sur la table... 

Les dattes sucrées, dans leur emballage...

J'aperçois le bleu et tout s’accélère...

Je pleure, tu pleures et nous conjuguons nos larmes

Il pleut à torrent, surtout  ne pas mouiller le sable...

Il ne sera jamais accroché,

Des deux côtés je dois pouvoir le regarder....

Chèche turquoise autour de mon cou

Il est, il vient de notre Doux...

Je le porterai d'amour en partage

Pour le prochain jour de ton mariage....

Clémentine☸-ڿڰۣ-ڿڰ-ڿڰۣ- ♥

Joues de sucre

Mes joues sont devenues de sucre
 De celui de l'amitié
Celle qui donne belle mine
Embaumée d'un sourire
Les dattes en partage, le faisait rire de joie
Il me disait mange, mange devant moi
Nulle part ailleurs tu trouveras celles-ci...

Tends ta main Quentin,
Je vais cracher le noyau de si loin...

Mes joues sont devenues de sucre
De celui de la tendresse
Sentiment partagé avec vous
Ses enfants, ses soeurs et ses amis
Les dattes sont présentent
Et le resteront dans mon coeur
Avec vous, nous les mangeront...
Et tendrement nous parleront de lui ...



juillet 2013

Traces...

Traces bleutées sous nos yeux
Amoureux

   *Je les aime


Traces d'amour sur nos visages
En partage

     *Je les aime

Traces de bonheur sur nos corps
en accord

     *Je les aime

Traces de douceur sur nos coeurs
Sans douleur

    *Je t'aime

Balade en jardin de Berchigranges

Pour trouver cet endroit serein
Niché au coeur de mes Vosges
Bien sur, il vous faudra suivre petite route
Celle qui grimpe au dessus de la Vologne
Qui vous fera rêver, entre fougères et brimbelliers
Fermes égarées et sapins élancés...

Le jardin de Berchigranges s'annonce au détour du lacet
A chacun de choisir son moment de visite,
J'aime le vert tendre de la nature s'éveillant à la vie
Alors je sais que les fleurs dormiront encore,
Mais qu'importe, le gazouillis des rus chantants
Les parfums d'herbes sauvages, le vent s'égarant dans les arbres
Les monts alentours se dessinant au travers des branches,
Là est mon régal...

Et puis...

Entrons...

Ne plus faire qu'une avec cette nature...
Alors...

Un sac fourre-tout, c'est facile
Pour y fourrer escarpins de pieds indociles...

Si mes yeux se gavent d'images,
Mes pas sur la pelouse restent sages
Le bois, la pierre, écorce et gravier chantent à ma peau...
Chaque foulée est vie, chaque respiration, une inspiration...
Quand le soleil sera plus chaud
Fleurs et plantes feront les délicates en renouveau

Les oiseaux m'accompagnent, se répondant dans la montagne
Le coucou prévient de son méfait... nous sommes en mai...
Les mésanges en rient, elles cachent trop bien leurs nids...

Les fougères font les belles,
Se déliant doucement , en bouquets charmants
Renoncules d'or, petits soleils en décor...
Coeurs de Marie, suspendus...  je vous ai vu

Et puis... je deviens trop bavarde,
Simplement admirer le travail des jardiniers...

Berchigranges est un jardin-passion
un jardin beau, en toute saison...

Clémentine pieds-nus*____*

http://www.france2.fr/emissions/le-jardin-prefere-des-francais/jardin/jardin-de-berchigranges/74-531
si vous aimez ce jardin... sourire*

une demande, une prière, un défi... serez-vous cap ?

UNE DEMANDE, UNE PRIÈRE, ET UN DÉFI, POÈTES ETES-VOUS CAP ?

Ou sont passé les poètes des beaux jours
Ceux qui écrivaient avec tendresse et amour
Qui parlaient d'oiseaux et de fleurs sauvages
Qui me faisaient rêver au-delà  des nuages...

Je ne vois plus que disputes et commérages
Impressions de basse-cour ou les mots volent bas
On tire à vue sur JEPO" devenu "À L'ABORDAGE"
cimeterres aiguisés, volent les têtes, les coeurs et les âmes...

Mon lieu de rêverie est devenu sanglant
Les premières pages font fuir et pleurer nos âmes d'enfants
Je n'ai pas d'autre nom pour écrire que le mien
Clémentine en Clementinette je n'en changerais pas

Il serait temps de vous remettre à rêver,
D'oublier le passé,  de ne plus polémiquer
Et puisque l'été arrive, que les jardins deviennent délices
Je vous invite à vous y rendre et de nous les décrire
Demain je mettrais en ligne celui de Berchigrange
Poètes, à vos coeurs, vos sourires et vos yeux
Faites-nous découvrir ceux près de chez vous

Faites-nous rêver, redonnez âme à ce site
Redonnez sourire et envie de vous lire....

Car là est la première vocation du poète....