Nicolas,
Il s’appelait Nicolas
Il était le calme et le sourire
Il était la jeunesse et la vie
Sur le bord d'une route lorraine
Ils ont pris sa vie pour notre peine
De nos cœurs en cumulo-nimbus
Ils ont pris sa vie pour notre peine
De nos cœurs en cumulo-nimbus
Reste un bouquet sur un talus
Qui depuis quelques années
Fait freiner... et penser
Ceux qui ont un certain soir fauté
Ne prenant pas la peine de s'arrêter
Ne prenant pas la peine de s'arrêter
Pour eux pas d'autre chemin
Ayant rendu deux poulbots orphelins
Dans mes yeux à jamais le désarroi de mon enfant
Dans ma tête,palpite le cri de douleur d'une maman
Et dans mon coeur résonne sans cesse
Pour mes poulbots une pointe acérée de tristesse
Ayant rendu deux poulbots orphelins
Dans mes yeux à jamais le désarroi de mon enfant
Dans ma tête,palpite le cri de douleur d'une maman
Et dans mon coeur résonne sans cesse
Pour mes poulbots une pointe acérée de tristesse
Pour ses gens sans remords
faisant fi des autres... la mort
faisant fi des autres... la mort
L'alcool et la bêtise aidant
Leurs nuits restent-elles sans tourment....
Leurs nuits restent-elles sans tourment....
A Nicolas...
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