Quand les ailes sont de peine
Déversant larmes en montagne
Nulle âme ne peut rester sereine
Quand mort devient sa compagne
Qu'importe la langue des cœurs
Contre ces ailes chapardeuses
La peine n'a pas de couleur
Au vol de cette jeunesse rieuse
La douleur est universelle
A ceux qui ne reviendront pas
En berceau de terre éternelle
Nous ne les oublieront pas
Ils étaient rire sur ailes emportées
Ou sont leurs vies sous ailes brisées...
En hommage à tous ces hommes femmes et enfants
Qui ne voulaient rien d'autre que retrouver leurs parents...
26 mars 2015
bel hommage - les vies s'en vont - auj. ce sont les migrants qui n'ont cherché que de meilleures conditions de vie.
RépondreSupprimerTrop de vies s'en vont Monique, trop, beaucoup trop...
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