Mon coeur est mélancolique
Comme amputé de son doux
Pourtant je sais que je continuerai à entendre ta voix de soleil
Tu m'as promis d'appeler de temps en temps...
De trouver un cyber, mais tu auras tant de chose à faire
Trouver le mauve, le blanc de pureté et les meubles de la cuisine
Choisir le poulain, celui qui grandira avec le dernier arrivé...surveillé de ses aînés
Respirer le vent qui emmêlera tes cheveux, de ton pays en reprendre plein les yeux
Caresser les herbes sauvages, voir le soleil tremper le bout de ses rayons dans ta méditerranée
Parler à la lune , lui raconter tes rêves d'enfants devenu grands,
Tes pieds glisseront sur ta terre, ne la bouscule pas, elle a encore tant à te donner..
Dis-moi... au bord du lac, y aura-t-il un banc ? que je puisse moi aussi venir y rêver...
Et puis, dans tes bagages, n'oublie-pas ceci....
❀‿❀♫(¸.•'´♥ ☼ ♪● ..~♥● ~♪
(`'•.¸*¤*♥¸.•'´)bisousourire¸ .•'´)♥●
(¸.•'´(¸.•'´Clem*`'•.¸)`'•♥.¸)♥❀‿❀
♫(¸.•'´♥ ☼ ♪● ❀‿❀une pleine cargaison, avec de la tendresse... à profusion....
Pars l’âme légère Quentin, avec autour de ton cou , une jolie chaîne d'amitié de tes amis jepoémiens...
31 mai 2013
16 mai 2013
Pluie de mai
Ce matin, sous la pluie
J'ai vu dame merlette sautiller sous son parapluie...
La douce tourterelle
La tête sous son aile, cherche pour rien son ombrelle de dentelle,
Les canards de la mare, chose incroyable...
Pleurant sur leur guitare, pataugent en imperméable !
L'abeille ne fait plus merveille,
Elle dort encore puisque le soleil ne l'éveille...
La timide coccinelle,
A oublié les paroles de sa jolie ritournelle...
Demain sera encore chagrin
Ou vais-je trouver mes alexandrins...
La glycine déprime
pendue, haute et lourde de pleurs sur mon mur de rimes
Les rues dégoulines
Alors ma ville, de jolie barbotine, en devenir de marine
Lentement, mais surement...
Pauvre moi, dégoulinante Clémentinette,
Je me transforme..; en rieuse rainette !
J'ai vu dame merlette sautiller sous son parapluie...
La douce tourterelle
La tête sous son aile, cherche pour rien son ombrelle de dentelle,
Les canards de la mare, chose incroyable...
Pleurant sur leur guitare, pataugent en imperméable !
L'abeille ne fait plus merveille,
Elle dort encore puisque le soleil ne l'éveille...
La timide coccinelle,
A oublié les paroles de sa jolie ritournelle...
Demain sera encore chagrin
Ou vais-je trouver mes alexandrins...
La glycine déprime
pendue, haute et lourde de pleurs sur mon mur de rimes
Les rues dégoulines
Alors ma ville, de jolie barbotine, en devenir de marine
Lentement, mais surement...
Pauvre moi, dégoulinante Clémentinette,
Je me transforme..; en rieuse rainette !
11 mai 2013
Quartier de ma jeunesse
Comme je regrette le temps
De ce lavoir d'antan
Où la rousse boulangère
Eté, printemps, automne comme hiver
Epiant la boutique du coin de l'oeil
Lavait le linge d'une grande famille écureuil
Le temps des épiciers de quartier
Avec le sourire, notant dans le carnet,
Celui où je voyais mes parents
L'air de rien, tout en parlant
Glisser paquet-survie dans le sac des mères-grand
Le plat porté au père Briot
Pour lui, toujours une part du rabiot
Grimpant la petite côte Mauvraie
Avec mon frère pour lui déposer
Chaque jour, vaille que vaille
Devant sa petite maison bancale
Bien sûr sa vieillesse nous faisait peur
Sa vie d'avant l'avait usé au labeur
Le temps du square entouré de tilleuls
Où nos rires résonnaient sous les yeux des aïeules
On y plantait nos tentes d'indiens
Retour aux sources, sans savoir, mine de rien
Une époque ou les gens avaient du coeur
Se souciant du voisin, discutant avec le facteur
Ou les hommes se retrouvaient au bistrot
Discuter devant un rouge-ballon, au bar des cheminots...
En haut du raidillon, l'école Durkeim
Une pour les filles, l'autre pour les garçons
Encadrant en protection, celle de la maternelle...
Il riait de vie mon quartier, les bonjours y fusaient
Tout le monde se connaissait....
Maintenant, tout est changé...
les gens sont toujours pressé
Plus de commerces de proximité...
Ils ont coupé les tilleuls...
Il n'y a plus d’aïeules
Pour surveiller les enfants,
En discutant et tricotant...
Où est ce temps bon enfant
Du lavoir et du square... et des gens...
Mon quartier ? celui de la rue notre Dame de Lorette....
10 mai 2013
7 mai 2013
Trois petits sapins
Il est dans mon jardin
Trois petits sapins
Moins haut que trois pommes
Qui attendent couleur d'automne
Pour de leurs quelques aiguilles
Briller de vert en apostille
Je ne les verrais pas grandir
Me demandant quel sera leur avenir
Vont-ils les garder
Vont-ils les arracher
Mes trois petits sapins
Cadeaux des oiseaux un certain matin...
Trois petits sapins
Moins haut que trois pommes
Qui attendent couleur d'automne
Pour de leurs quelques aiguilles
Briller de vert en apostille
Je ne les verrais pas grandir
Me demandant quel sera leur avenir
Vont-ils les garder
Vont-ils les arracher
Mes trois petits sapins
Cadeaux des oiseaux un certain matin...
3 mai 2013
Lui et Moi
Lui et moi, doucement,on s'apprivoise...
Lui, étale à ma vue toute sa luminosité
Moi, je la touche du bout des yeux
Lui, me surprend par son calme
Moi, je me laisse doucement bercer
Lui, me dessine ma nouvelle forêt
Moi, j’apprends de nouveaux rêves...
Ceux d'une nouvelle liberté....
Lui, a réussi à m'apprivoiser
moi, je l'aime déjà...
Clémentine*
3/05/2013
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