Se noyer dans une ouate de plaisir
N'effleurer que l'endormissement
Feindre l'abattement
Entendre sans écouter
Dans le vent les sons glisser
Les yeux clos sous le sombrero
Se laisser engloutir par un tempo lento
Bercée par les bruits de la plage
Emportée comme dans un grand coquillage
Le vent bruissant dans les pins
Devient caresse, c'est divin
La mer devient volage
Elle m'emporte dans son sillage
Tout se mélange, tout devient flou
Je plonge dans des rêves bien trop doux
Alanguie sur mon transat
Je dois leur sembler béate
Caresse du soleil sur mon corps
Avec lui je me sens en accord
Il en devient fripon...
Je n'ai pas de jupon...
Déconnectée de la réalité
Je ne reviens à moi que par ton charmant baiser...
Clémentine*
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